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Des éclairages sur les compétences comportementales, des avis, des actus.

Caroline Prat

Qu’est-ce qu’une Forest School?

Et si on reconnectait nos enfants à la nature ? C’est l’idée des forest schools de plus en plus en vogue auprès des parents, particulièrement depuis le confinement. D’où vient cet engouement pour les « Forest Schools » ? Que ce sont ces Forest Schools en France concrètement et à quels enfants s’adressent-elles ? Quels sont les principes de cette Pédagogie Par la Nature? Les Forest Schools dans le monde Le concept de Forest Schools est plébiscité depuis le début du 20ème siècle en Europe du Nord. Il faisait partie des tenants de l’Education Nouvelle, un mouvement alternatif qui militait pour un enseignement plus en phase avec la nature. Il existe aujourd’hui plus de 3000 Forest Schools en Europe, dont 2000 en Allemagne. Au départ, les Forest School se sont beaucoup développées au Danemark et en Allemagne, d’abord pour les élèves de maternelle et de primaire, puis pour les élèves du secondaire à partir de la deuxième moitié du 20ème siècle. Le Danemark ou la Finlande ont ensuite transformé le contenu et la structure de leurs programmes pour les adapter à certaines pratiques des Forest Schools. Elles sont aujourd’hui intégrées dans tout le système public de ces pays.  Les Forest Schools en France aujourd’hui En France, il n’existe aujourd’hui une quarantaine de Forest Schools, toutes privées, de niveau maternel ou primaire. Le phénomène reste donc marginal. Dans notre pays, où la très grande majorité de la population est urbaine, le modèle est difficilement transposable tel quel dans l’enseignement public.  Développer les liens entre l’école et la nature est en revanche possible. L’idée d’une éducation plus en contact avec la nature est ainsi en train de faire son chemin, favorisée par l’expérience du confinement. Qu’est-ce qu’une Forest School concrètement? Développer une « Forest School » ne veut pas nécessairement dire implanter une école à plein temps en forêt. La Forest School peut prendre différentes formes, notamment celle d’une école (maternelle ou primaire) au sens propre du terme, mais aussi d’un lieu accessible ponctuellement.  Il s’agit aussi de s’adapter à l’environnement. En Scandinavie, Allemagne, Grande-Bretagne ou en Espagne, il existe ainsi des écoles en bord de mer et en montagne. En zone urbaine, on peut se contenter d’un parc. La Forest School peut prendre différentes formes, notamment celle d’une école (maternelle ou primaire) au sens propre du terme, mais aussi d’un lieu accessible ponctuellement.  Dans tous les cas, des activités sont pratiquées en extérieur plusieurs fois par semaine. Les Forest Schools mettent en avant certaines pratiques comme l’observation, l’expérimentation et l’autonomie. Les enfants deviennent acteurs de leur apprentissage. Les Forest Schools reposent aussi sur une gestion différente du risque. En extérieur, on apprend aux enfants à se servir d’outils, à gérer le risque et à développer l’entraide.  Nos Forest Schools Compétences du 21ème sont implantés dans certaines forêts de région parisienne pendant les vacances scolaires. Nous choisissons pour ces  Forest schools des emplacements dans des vrais forêts disposant de paysages variés ( sous-bois denses en bois mort, clairières, sentiers forestiers etc) permettant de nombreuses activités ludiques : construction de cabanes et bricolages avec les branchages, jeux de pistes etc. A qui s’adressent les Forest Schools? Selon les cas, les Forest Schools sont ouvertes à différents types de public : • Pour les enfants des écoles accompagnés par leurs enseignants de façon régulière ou ponctuelle.• Pour les centres aérés sur les temps hors scolaires• Pour les enfants non scolarisés accompagnés d’un parent pour une journée par semaine ou un temps défini• Pour les élèves en difficulté (phobie scolaire, de troubles du comportement ou de difficultés d’apprentissage) on parle alors de remédiation scolaire. L’ élève peut y être accueilli durant le temps scolaire pour se reconstruire, gagner en confiance et renouer avec une scolarité dans un cadre ouvert. Nos Forest Schools Compétences du 21ème siècle sont bien sûr ouvertes à tous les enfants. Nous avons pu constaté que l’espace disponible et les nombreuses activités possibles en faisaient un cadre particulièrement propices pour les enfants débordant d’énergie, hyperactifs ou souffrant d’un trouble de l’attention. Quels sont les bienfaits des Forest Schools? Les vertus des apprentissages au grand air ont été validées par diverses études qui montrent l’impact positif des Forest Schools en terme de : santé physique (capacités motrices, solidité osseuse, force musculaire, réduction de l’obésité) santé mentale (réduction du stress, développement de l’estime de soi), compétences académiques ( selon des études britanniques, amélioration des résultats en écriture, lecture et mathématiques) compétences transversales (concentration, créativité, résolution de problèmes, autonomisation et persévérance) Les enfants des Forest Schools sont incités à vivre dans le moment présent. Ils y construisent leur capacité de résilience, prennent confiance en eux, apprennent à se respecter, à respecter les autres et à respecter la nature. Ils y travaillent en coopération, à élaborer des solutions inventives tout en apprenant à persévérer pour atteindre leur but. Le tout en ayant la liberté de s’écouter et d’être eux-mêmes. C’est sur ce développement des compétences psychosociales ou « soft skills » que nous mettons l’accent dans nos Forest Schools Compétences du 21ème siècle. A chaque stage pendant les vacances scolaires, nous ciblons en particulier une compétence ( confiance en soi, communication positive, habiletés sociales etc) que nous nous attachons à développer à travers des activités expériencielles et des jeux. La Pédagogie Par la Nature (PPN) Selon le Réseau Français de Pédagogie par la Nature, on appelle Pédagogie par la Nature un « processus qui promeut le développement holistique de ses participants au travers d’activités régulières de découverte dans un environnement naturel, si possible boisé ». La Pédagogie Par la nature repose sur différents principes clairement définis. Les enfants sont invités à explorer à leur rythme l’environnement naturel, à apprendre à s’en occuper, et développent leur relation à la nature ainsi qu’aux autres. Ils apprennent à se servir d’outils, à sculpter le bois vert, à cuisiner, à cueillir les plantes comestibles, construire des cabanes, repérer et interpréter les traces d’animaux, partagent des moments de jeux collectifs ou individuels, utilisent les éléments de la nature dans des projets créatifs etc. Les enfants sont libres de se tromper, de prendre des risques (modérés), de trouver des solutions par eux-mêmes, de créer, d’essayer. Le jeu

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Caroline Prat

S.A.F.E: les critères d’efficacité d’une intervention CPS ( atelier sur les compétences psychosociales).

Selon la dernière étude de l’association Ecolhuma, les enseignants sont 77% à considérer les CPS ( Compétences Psycho-Sociales ou « soft skills ») comme une de leur mission principale.  Ils sont cependant seulement 10% à avoir déjà mis en place dans leur classe « des interventions structurées » visant spécifiquement à développer ces CPS. Mais qu’est-ce qu’une « intervention structurée visant à développer les CPS » ? Selon la recherche (1), pour développer les soft skills efficacement, l’intervention auprès des jeunes doit avoir 4 caractéristiques qu’on peut résumer par l’acronyme S.A.F.E: 1° S = Sequenced On ne peut pas prétendre développer tous les soft skills à la fois d’un coup de baguette magique. Il faut structurer et séquencer les interventions par type de compétence visée en organisant des séries d’activités connectées qui permettent petit à petit de développer ces compétences. 2° A= Active La pédagogie doit être active, l’apprenant doit apprendre par l’expérience, les interactions, l’observation. Cela prend souvent la forme de partage d’expériences, de mises en situation ou de jeux de rôle. 3° F= Focused Il doit y avoir un temps dédié au seul développement des CPS, à l’exclusion de tout autre but. 4°  E= Explicit Il ne suffit pas de cibler pédagogiquement une compétence, il est important que les participants sachent ce qu’ils sont censés apprendre. Les critères SAFE pour Compétences du 21ème siècle Pour viser le maximum d’efficacité dans nos interventions en périscolaire ou extrascolaire, Compétences du 21ème siècle s’efforce de respecter ce cahier des charges en 4 lettres. Le faire progressivement rentrer dans le système scolaire, périscolaire et extra-scolaire est encore un sacré défi mais on ne peut que se réjouir de l’intérêt que le monde enseignant notamment porte aujourd’hui au développement des soft skills des enfants. (1)Développement des compétences psychosociales des enfants et des jeunes : un référentiel pour favoriser un déploiement national, 2021/12/14-15  Auteur : Lamboy Béatrice, Année de publication : 2021  

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Caroline Prat

Les soft skills dans l’éducation: pourquoi former les enfants aux compétences psychosociales?

Développer les CPS des enfants est une nécessité et il faut qu’on s’y mette tous. On vous dit pourquoi. En août 2022, le gouvernement a lancé  la « stratégie nationale multisectorielle de développement des compétences psychosociales chez les enfants et les jeunes 2022-2037 ». L’objectif affiché : « que la génération 2037 grandisse dans un environnement de développement continu des compétences psychosociales ». Cette annonce révolutionnaire est passée presque inaperçue (en dehors des milieux éducatifs ou de santé publique déjà investis sur le sujet). Le cap est fixé mais il est important d’expliquer à tous de quoi on parle et pourquoi ces objectifs ont été fixés. Parce que ça marche ! L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit les CPS comme « un groupe de compétences psychosociales et interpersonnelles qui aident les personnes à prendre des décisions éclairées, à résoudre des problèmes, à penser de façon critique et créative, à communiquer de façon efficace, à construire des relations saines, à rentrer en empathie avec les autres, à faire face aux difficultés et à gérer leur vie de manière saine et productive » (OMS 2003). Ces 50 dernières années, la recherche et les expériences au niveau international ont montré qu’il est possible de développer les CPS à travers des interventions structurés selon certains critères et que ces cycles d’ateliers ont de nombreux effets positifs. Voici une précieuse synthèse réalisés par l’association Ecolhuma : « Les programmes d’apprentissage social et émotionnel en milieu scolaire produisent des effets positifs significatifs sur les compétences ciblées socio-affectives, la confiance en soi, les attitudes vis-à-vis de soi-même, des autres et de l’école (Durlak et al., 2011; Weare et Nind, 2011; Adi et al., 2007). Le développement des compétences psychosociales chez les élèves entraîne une amélioration de leurs résultats scolaires et globalement une amélioration significative de l’engagement des élèves à l’école (Durlak et al., 2011). Il existe une forte augmentation des comportements prosociaux des élèves ayant suivi une formation sur les compétences psychosociales (Durlak et al., 2011). Suite à des formations sur les CPS les élèves montrent une diminution significative des problèmes de conduite (soit des comportements perturbateurs, de l’harcèlement, des actes de délinquance…) (Weare et Nind, 2011; Durlak et al., 2011; Adi et al, 2007). L’enseignement des CPS a un impact positif sur la santé mentale et le bien-être, il permet de réduire la détresse émotionnelle chez les élèves, y compris le stress et la dépression. L’apprentissage des CPS permet en outre de développer des outils pour se démarquer sur le marché du travail.  » Parce qu’il est temps que la France s’y mette! A chaque enquête PISA de l’OCDE, on constate que le retard de la France par rapport à d’autres pays en matière de compétences psychosociales est énorme. Selon la dernière enquête PISA montre, la France est nettement dans les derniers rangs pour les soft skills des élèves : • Confiance en ses capacités : 62ème sur 65 • Anxiété : 62ème sur 65 • Ouverture à la résolution des problèmes : 53ème sur 65 • Collaboration : 49ème sur 60 Les programmes CPS probants se sont développés dans les pays anglo-saxons dans les années 1970. Il s’agit cycle(s) d’ateliers psycho-éducatifs en groupe. Par l’expérience, les enfants sont amenés à renforcer leurs propres compétences sociales, cognitives et émotionnelles grâce à des mises en situation et des activités pratiques. Il faut que les résultats des programmes aient été scientifiquement validés ou bien qu’ils s’appuient sur les données probantes (comme c’est le cas ne nos interventions Compétences du 21ème siècle). On a besoin de chacun Il ne suffit pas d’un atelier en groupe ni même d’un cycle de quelques ateliers pour développer les CPS. D’abord parce que les CPS sont nombreuses et interdépendantes. Par exemple, il sera difficile de travailler sur la capacité d’un enfant à s’affirmer en public s’il n’a pas auparavant musclé une compétence socle : la confiance en soi. Il sera de même impossible de chercher à développer l’empathie si l’enfant n’a pas auparavant appris à décoder ses propres émotions. On parle aujourd’hui de plus en plus de développement des CPS à l’école et nous nous en réjouissons. Mais l’apprentissage des CPS ne doit pas s’arrêter à la porte de la classe. La récréation, la pause méridienne, les temps de garderie et d’études sont aussi des moments essentiels pour le développement du savoir-être. Il est donc urgent d’associer tout le personnel périscolaire, les centres de loisirs, les atsem pour qu’ils accompagnent également ces objectifs éducatifs en matière de soft skills. L’ axe 1 de l’instruction gouvernemental l’a bien prévu en « confiant aux territoires l’animation et la coordination du déploiement des interventions de développement des CPS ». Former les adultes aussi… Pour les enseignants ou les encadrants, la conduite d’interventions CPS efficaces ne s’improvise pas car elle nécessite d’adopter une posture spécifique et de préparer un contenu structuré. L’intervenant CPS n’a pas le rôle de « sachant » qui transmettrait un savoir comme souvent l’enseignant, il n’a pas non plus le rôle est d’un animateur qui conduirait un jeu. Sa posture doit être celle d’un facilitateur ou d’un accompagnateur du processus ( les coachs parleraient de « posture basse »). Ses attitudes éducatives doivent être positives et valorisantes. Les études confirment pour la plupart, l’importance d’adopter une approche globale à travers des programmes impliquant aussi bien les enseignants que les élèves. (Weare et Nind, 2011).  En appui sur ces constats, Compétences du 21ème propose aujourd’hui aux écoles, centre de loisirs et collectivités territoriales des programmes sur mesure pour développer les CPS des enfants et former leurs éducateurs. 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Caroline Prat

Nos ateliers enfants à distance pendant le 1er confinement

Dès le début du confinement, nous avons organisé des ateliers en ligne pour des enfants entre 6 à 9 ans. Commencés à titre expérimental, ces ateliers sont ensuite devenus réguliers  2 fois par semaine. NOS OBJECTIFS A TRAVERS CES ATELIERS : Permettre aux enfants de garder un lien avec d’autres enfants de l’école Les distraire par des jeux Encourager la créativité, coopération, la capacité d’expression et la positivité des enfants Tester la pertinence à distance d’exercices d’éducation socio-émotionnelle Donner des défis à réaliser pour occuper les enfants entre 2 séances Tester un dispositif de gamification dans le développement des softs skills DES EXEMPLES DE REALISATIONS DES ENFANTS EN IMAGE Réaliser une tête en fruits et légumes à la manière du peintre Arcimboldo La play list de leurs chanteurs préférés Chaque enfant du groupe a dû proposer aux autres ses 3 chansons préférées. A partir des top 3 de chacun, on en a fait une playlist de 30 chansons à écouter si on s’ennuie. Chacun a ensuite élu sa chanson préférée et sa plus belle découverte, grâce aux suggestions des autres. A écouter sur: http://www.deezer.com/playlist/7515590684 Débat philo : faut-il avoir peur du coronavirus ? Le résumé du débat selon les 2 dessinatrices du jour, Anouk et Joan  Une chanson, un dessin Le challenge: faire deviner aux copains une chanson par un dessin (merci à Isabelle de Peinturelure à qui on a piqué l’idée). Vous voulez jouer ? Mais aussi beaucoup de jeux coopératifs et créatifs, des mimes, des échanges et des moments d’interrogation et d’apprentissage plus sérieux par exemple: Etre positif ou négatif dans une situation, ca veut dire quoi?  Comment reformuler en positif une impression négative? Etre bienveillant en groupe, c’est quoi? Et coopéer, ca implique quoi? ou encore: Si on pouvait changer le monde après le confinement, on ferait quoi?  ***  Merci à tous les enfants dont les réalisations sont ici affichées: Anouk, Eliott, Joan, Jill, Charline, Sid et Magda. Et pardon à tous les autres:-)

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Caroline Prat

Booster nos soft skills en huis clos

Et si on profitait d’être avec les enfants à la maison pour booster nos soft skills ? Les nôtres et les leurs ? LE TOP DES SOFT SKILLS POUR SURVIVRE EN FAMILLE A LA MAISON: 1° LA FLEXIBILITE Vous vous souvenez du roseau qui plie et ne se rompt pas ? Ça va devoir être vous ces prochaines semaines… Pour le moment, vous êtes totalement pétrifiée en imaginant le tunnel sans fin dans lequel on s’engouffre… Mais si vous voulez que vos enfants s’adaptent à leur vie à la maison, il va vous falloir faire preuve d’une souplesse exemplaire. Le modèle 24h/24 désormais, c’est vous. No pressure at all : va falloir être « agile ». 2° LA CREATIVITE Dites bye bye à cette croyance trop répandue selon laquelle la créativité est une qualité qu’ont les seuls artistes lorsqu’ils imaginent des trucs farfelues qui n’existent pas. La créativité, c’est trouver des solutions nouvelles pour résoudre des problèmes vieux comme le monde ou des problèmes dont on n’avait jamais soupçonné l’existence, genre « Comment expliquer à mon fils ce problème de maths que je ne pige pas moi-même ? ». 3° LA GESTION DES EMOTIONS Des émotions, il va falloir en gérer un paquet : la fureur quand n°1 aura tartiné n°2 de gel WC; l’ennui profond quand vous aurez lu Tchoupi pour la 30ème fois de la journée à n°3; la joie débordante quand aurez 30 minutes de répit pour sortir faire les courses ; l’envie de meurtre quand l’Homme sortira de sa tanière ( le bureau ou la chambre où il a télétravaillé toute la journée) et vous demandera : « tu as passé une bonne journée, ma chérie ? ». Et puis, va falloir que vous aidiez votre progéniture à contrôler leurs émotions à eux : avoir une maman prof qui ne comprend rien aux maths les plus élémentaires, se coltiner la présence des frères et sœurs 24h00/24, ça ne va pas être facile pour eux non plus… Adepte de l’éducation positive et bienveillante, vous êtes prévenues : il va falloir aller chercher très très profond en vous pour ne pas hurler en permanence…et accompagner avec délicatesse vos petits chéris dans la gestion de leurs émotions. 4° LA COOPERATION Spontanée ou organisée, volontaire ou une peu forcée, la coopération, on ne va pas y couper… Vous en avez géré beaucoup des équipes dans votre vie professionnelle ? Voici venu un challenge d’une bien plus grande complexité : faire fonctionner votre famille en huit clos. 5° L’ESPRIT CRITIQUE Quand vous vous direz ( souvent), on n’en fait pas un peu trop avec cette panique, ces mesures de précautions ? Pourquoi a-t-on aussi peur ? et cette peur est-elle vraiment utile ? Et ben, vous ferez de la philosophie sans le savoir. Se poser des questions, c’est bien… Encourager ses enfants à se les poser, c’est encore mieux. 6° LA POSITIVITE Peut-être le plus puissant des soft skills, voir le bon côté des choses et avancer. Ok, pour le moment on n’est pas prêts mais qui sait ? Dans quelques semaines, on arrivera peut-être à se dire avec nos chérubins que cette crise a boosté certaines de nos qualités… A suivre : nos posts pour boostez nos soft skills : confinés, en famille mais toujours avec humour.…

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